Rebot #18 – Rhino

Dans la foulée de Pierrot, j’ai frénétiquement enchaîné avec Rhino, Rebot dix-huitième du nom. Rhino est d’un gabarit assez conséquent, certainement parce qu’il vient de Krypton. Et comme tout bon ressortissant de cette planète, la nature l’a généreusement doté de kryptonite, astucieusement logée dans ses biceps. Ici, en vert. Oui, là. Ce matériau légendaire lui donne une force herculéenne lui permettant, par le truchement d’une ou l’autre de ses puissantes pinces, de plonger délicatement un beau glaçon (un BG pour les djeunzes) dans votre ricard. Evidemment, pour atteindre ce niveau exceptionnel d’interface homme-machine, il vous faudra actionner l’interrupteur habilement placé sous le bas ventre. On ne manque pas d’humour chez Remixte. Ce faisant (oui, avec un « T », Rhino n’est pas un volatile que je sache), vous illuminerez également ses pupilles d’un bleu immaculé, et sa ceinture (un petit ruban Led s’y cache !). Toutes ces loupiotes étant alimentées par un petit port USB implanté dans le dos de cet énergumène ferrugineux. Comme tous ses congénères kryptoniens, Rhino dispose d’une grosse corne articulée qui fait aussi office de bouche et qui lui donne son nom. Après avoir sifflé votre pastaga, vous pourrez jouer, avec plus ou moins de succès, au traditionnel « Yakoidansa », qui consiste à trouver les ingrédients qui composent l’androïde ici présent. Bonne chance dans votre recherche. L’idéal étant sûrement de l’emporter chez vous pour maximiser vos résultats… Ca tombe bien, il est dispo ! Par contre, si Superman fait partie de vos proches, évitez.

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