Rebot #17 – Pierrot

Constatant une baisse drastique de mon effectif de robots, il fallait de toute urgence que je m’attèle à la création d’un nouveau modèle ! Il faut toujours avoir plein de robots. C’est la base. Et c’est ainsi qu’est né Pierrot. Alors, pourquoi ce prénom ? C’est sans doute sa bouille ronde et sa collerette presse-purée qui m’y ont fait penser. Loin de moi l’idée de faire un jeu de mot avec les bougies (pour moteur de voiture, hein, essayez pas de les allumer avec une flamme) qui lui font office de biceps. Ben oui, comme dans la chanson « au clair de la lune ». Mon ami Pierrot, ma chandelle est morte, tout ça tout ça… Bref, passons en revue ce nouveau tas de ferraille (amis de la poésie, bonjour !). Cet individu riche en fer est, comme souvent, une lampe, et comme souvent, à poser (celle-ci n’a pas encore la capacité de léviter, désolé). Ce qui est sympa c’est qu’une toute petite ampoule tube au filament vintage est logée tout la haut dans sa caboche, sous un joli globe en verre. Le tout accessible par un ingénieux système pivotant en haut de son casque. Pierrot est aussi sensible à la pression, comme certains de ces prédécesseurs. Ce qui lui vaut ce mignon mini manomètre en guise de blason. Au passage on reconnaîtra un shaker tête en bas et quelques accessoires de luminaires récupérés de-ci, de-là. Grosse innovation chez Remixte avec ce modèle : a pu l’interrupteur !!! Mais comment se fait-ce ??? C’est l’objet lui-même qui déclenche la lumière dès qu’on le touche. C’est pas un peu la classe ? Oui. Alimenté par un câble en tissus zig-zag rouge et blanc fort stylé, ce robot lu[mi]naire vous tend les bras à la boutique. Il pourra même vous gratter le dos si vous lui demandez poliment : « Au clair de la lune, mon ami Pierrot. J’ai un gros pustule, viens me gratter l’dos ». Par exemple.

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