On va bouffer du bœuf !

Après la série des Fiat 500 surmontées d’un verre à Spritz, j’avais envie d’explorer un autre territoire. La Mini Cooper semblait tenir cette promesse. Même si le fabricant est le même, chaque modèle est évidemment différent et demande une petite réflexion en amont. Cette version avec toit ouvrant (fermé) en plastique noir brillant présentait des caractéristiques assez proches de notre mignonne voiture italienne. Décision prise pour le prochain voyage : on traverse la Manche, direction le Royaume Uni ! Après avoir simulé puis validé le résultat final en plaçant une cale sous la voiture, je commence par découper ces grands verres Beefeater from London : le process avec la meule diamantée est désormais bien maîtrisé. Pas de casse ! L’étape la plus délicate réside toujours dans le perçage du toit qui est un élément assez fragile : le moindre coup de perceuse mal dosé peut le faire éclater ! Ce fut le cas sur une Fiat 500. Depuis cet accident, j’ai revu ma méthode : je perce un trou modeste que j’agrandis ensuite progressivement avec une meule cylindrique. Cette façon de faire, plus soft, prend plus de temps car il faut surveiller que le trou reste bien rond et ne devienne pas trop grand. C’est le prix de la tranquillité ! Reste enfin le collage à l’époxy. Une dernière formalité assez rapide car la colle prend très vite. Après une petite heure de séchage, je peux passer aux suivantes.

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