L’alchimie Goldy

Je reviens sur la transformation de l’or en or. Oui bon, bof. C’est parce que c’est Goldy, hein. C’est pour ça. Voilà. Je retrouve avec plaisir mes petits appareils très parallélépipédiques (le deuxième mot le plus long de l’univers). Ici, rien de nouveau même si chaque modèle a ses propres spécificités auxquelles il faut à chaque fois s’adapter. Afin d’obtenir une belle boite vide (avec de la place pour fourrer tout le matos électrique), j’ai pu me débarrasser de la chambre photographique, en tôle, qui siège dans le boitier. Après observation puis contournement de son système de fixation. Car entendons nous bien, il ne s’agit d’y aller comme un bourrin (= découper tout à la disqueuse) qu’en ultime recours. Ici, on respecte le patient, d’autant plus s’il est âgé ! Ensuite, ce sont les étapes désormais habituelles de perçage pour encastrer la douille et l’interrupteur à levier, et faire passer le câble à l’intérieur. Enfin vient l’étape d’électricité pour connecter l’ensemble proprement et en toute sécurité. Un bon nettoyage (essentiellement ponçage des points de rouille), un petit test, et c’est parti pour la séance photo-beauté. Voilà un Goldy très satisfait de ce petit lifting !

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