Un petit focus sur la génèse d’Alambic ! Ce beau luminaire aux allures d’ustensile de labo de chimie tire en grande partie son caractère de ce pied de bois laqué et d’acier chromé qui fut, dans un autre temps, celui d’une cafetière à dépression. Les étapes sont assez habituelles : je démonte tout ce que je peux. A ce sujet, j’ai un proverbe qui, en pratique, s’avère assez juste : « tout ce qui se monte se démonte ». Je nettoie ensuite bien toutes les pièces (décrassage, brossage voire ponçage fin, retouches, etc.) puis je remonte l’ensemble en ajoutant une pincée d’accessoires d’électrification indispensables à la distillation de la jolie lumière produite par ce globe LED métallisé. Alambic est un bel exemple d’analogie formelle, ou comment l’aspect d’un objet induit sa transformation en un autre, pour une fonction bien différente… Enfin, après ce petit montage plutôt plaisant, rien de tel qu’un bon café pour garder la patate !